Les Méchants La Reine des neiges La Reine des neiges est un personnage tiré d'un conte d'Andersen portant le même nom. Femme au coeur glacial, elle kidnappe un jeune homme ayant reçu du verre dans les yeux et dont le coeur devient aussi froid que la pierre a cause d'un charme lancé au miroir. Elle vit dans un château de glace,entouré de froid, en Arctique.
Elle sera la Glaçante : Chaque nuit, elle pourra glacer une personne, louve ou non et celle ci ne pourra ni agir ni recevoir des actions. Elle ne peut se désigner ni désigner deux nuits de suite la même personne Barbe BleueTiré d'un conte populaire dont le plus connu est celui de Charles Perrault, il est le personnage central du récit portant le même nom.
Un homme nommé « la Barbe bleue » dégoûte les femmes : il a une barbe tellement noire qu'elle en était bleue qui le rend laid et terrible et de surcroît il a déjà épousé plusieurs femmes, et on ne sait pas ce qu'elles sont devenues. Il propose à une voisine d'épouser une de ses deux filles, mais aucune des deux ne le souhaite. Finalement, l'une d'elles accepte grâce aux richesses de la Barbe Bleue.
Un mois après les noces, la Barbe bleue doit partir en voyage. Il confie à sa jeune épouse un trousseau de clefs ouvrant toutes les portes du château, mais il y a une petite pièce où elle ne doit entrer sous aucun prétexte. Curieuse, elle pénètre dans cette pièce et elle y découvre tous les corps des précédentes épouses, accrochés au mur. Effrayée, elle laisse tomber la clef, qui se tache de sang. Elle essaye d'effacer la tache, mais le sang ne disparait pas car la clé est magique.
La Barbe bleue revient en avance. Furieux d'avoir été trahi, il s'apprête à égorger sa femme, comme les précédentes. Comme elle attend la visite de ses deux frères, elle le supplie de lui laisser assez de temps pour prier. Il lui donne un quart d'heure et elle monte dans une tour, avec sa sœur, Anne, laquelle monte sur une partie élevée d'où elle cherche à voir si leurs frères, qui devaient leur rendre visite ce jour-là, arrivent. La femme demande à la sœur à plusieurs reprises si elle les voit arriver, mais elle répète qu'elle ne voit que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie. La Barbe bleue crie qu'il va monter pour la tuer. Finalement elles voient les frères approcher.
La Barbe bleue est sur le point de tuer sa femme avec un coutelas, et la tient par ses cheveux, quand les frères arrivent, et le tuent à coups d'épée. Elle hérite de tout, aide sa sœur à se marier et ses frères à avancer dans leurs carrières militaires, et elle-même épouse un honnête homme qui la rend heureuse.
Il sera le Chef : La nuit, durant le vote de l'antre, il aura double voix pour désigner la victime des méchants. La Fée Carabosse Le personnage de la méchante marraine est antérieur aux écrits de Charles Perrault. Sa première apparition remonte au xiiie siècle, dans la chanson de geste « Les Prouesses et faitz du noble Huon de Bordeaux » : Obéron, le roi des Elfes, explique à Huon qu'il doit son aspect à une fée en colère qui lui jeta un sort le jour de son baptême.
Le personnage de la méchante marraine apparaît ensuite dans les deux versions de La Belle au bois dormant, mais ne se nomme pas encore Carabosse :
dans sa version, Charles Perrault, elle est présentée comme une « vieille fée », sans précision sur son nom.
dans l'adaptation des frères Grimm, elle devient la « treizième fée », par opposition aux onze premières qui offrent à la princesse des dons merveilleux et à la douzième qui intervient en dernier ressors pour atténuer la malédiction.
Madame d'Aulnoy reprend ce personnage dans ses contes La Biche au bois et La Princesse Printanière. Bien que son rôle soit relativement différent de celui qu'elle tient dans La Belle au bois dormant, la méchante marraine reçoit dans La Princesse Printanière le nom de Carabosse. La fée Carabosse devient ensuite un personnage à part entière dans du ballet de Tchaïkovski, La Belle au bois dormant. On a coutume depuis d'attacher ce nom à La Belle au bois dormant
Dans la version de Disney, elle change d'aspect et prend le nom de « Maléfique ».
Elle sera la lanceuse de Malédiction : Chaque nuit, ellepourra désigner une personne qui ne pourra pas voter le lendemain. L'ogre Charles Perrault n’abuse pas de la figure de l’ogre et n’y a recours qu’à trois reprises, avec deux ogres mâles et une ogresse. Dans les trois cas, les ogres occupent une position sociale élevée et sont riches :
l’Ogre du Petit Poucet possède quantité d’or et d’argent dont le héros finit par s’emparer
celui du Chat botté est maître d’un château entouré de vastes terres et vit dans l’opulence
quant à l’Ogresse de la Belle au bois dormant, elle n’est rien de moins que la reine.
Le cannibalisme, qui engraisse leur corps et les accroît jusqu’à en faire des géants, s’accompagne ainsi d’une profusion de richesses et de pouvoirs exceptionnels : mobilité extrême pour le premier grâce aux bottes de sept lieues, métamorphose pour le second et régence pour la dernière.
Les Ogres n'ont qu'une obsession : manger de la chair fraîche. Leurs mets de prédilection sont les petits enfants. À la différence du Loup, qui dévore ses victimes crues, l'Ogre aime que la viande soit préparée et cuite, en sauce, comme on accommode le veau ou le mouton.
On voit les Ogres bons amis. Celui du Petit Poucet se prépare à régaler ses amis Ogres de chair fraîche. Il est décrit comme « bon mari » et père de sept petites filles qu’il élève comme des princesses. Il finit cependant par s’évanouir, non par le trépas, mais dans son sommeil dès lors qu’on lui ôte ses bottes de sept lieues, comme s’il perdait alors tout pouvoir avec la disparition de ce signe extérieur de fortune et puissance.
Malgré leur taille, leur appétit, leurs richesses et leur position sociale élevée les rendant d'autant plus à craindre, les Ogres se laissent facilement berner : l’un par un enfant, l’autre par un chat, la dernière par son maître d’hôtel, même si elle finit par découvrir la supercherie : le Chat botté convainc sans mal l'Ogre de se transformer en souris, quant au Petit Poucet, il échange son bonnet de nuit et celui de ses frères contre les couronnes des filles de l'Ogre, ce qui conduira ce dernier à tuer sa progéniture.
Il sera le Recruteur : Chaque nuit, il pourra recruter quelqu'un jusqu'à ce qu'il trouve l'Egaré. Le loup est un personnage de conte dans la tradition. Dans le conte de fées, il apparaît souvent comme exutoire de l’angoisse qu’il génère. En effet, de nos jours, le loup est plutôt une espèce disséminée mais au Moyen Âge il était l’une des grandes peurs populaires. Dans d’autres récits, cet animal peut inversement apparaître comme une figure sécurisante et tutélaire.
De nos jours, démystifié, le loup est souvent montré de façon ironique, et sert surtout à changer le regard sur l’autre, non sans tendresse.
Dans Le Petit Chaperon rouge de Charles Perrault, le loup incarne la figure masculine en tant que prédateur. La fillette aux portes de l’adolescence, éprouvant une peur mêlée de curiosité, va venir rejoindre le loup dans le lit et être dévorée, car elle n’est pas assez mûre pour envisager les relations représentées par le loup. Elle va donc se laisser « dévorer » par celles-ci. L’auteur le présente comme « compère le loup ». Le mot de compère vient de Jean de la Fontaine, qui qualifie ainsi certains animaux (le renard, le loup), pour mieux en signaler la débrouillardise et l’absence de scrupules moraux1. Tex Avery reprendra le personnage du Loup – prédateur et le modernisera.
Dans le Petit Poucet, le Loup incarne avec l’Ogre les peurs enfantines liées au stade oral (Sigmund Freud), où les fantasmes tournent autour de l’idée de manger et d'être mangé.
Il sera l'Egaré : Il ne pourra accéder à l'Antre que s'il est recruté par l'Ogre. Si l'Ogre meurt avant qu'il ne soit recruter, il deviendra SV. S'il meurt avant d'être recruté, il meurt en tant qu'Egaré. L'indépendant Le Joueur de flûte de Hamelin est une légende allemande, transcrite notamment par les frères Grimm et arrivée jusqu'à notre époque sous le titre original Der Rattenfänger von Hameln (L'Attrapeur de rats de Hamelin). Elle évoque un désastre censé être intervenu le 26 juin 1284 dans la ville de Hamelin en Allemagne
En l'année 1284, en la ville d'Hamelin vint un joueur de flûte : un dératiseur. En ce temps là, la ville était envahie par les rats et les habitants mouraient de faim. Le maire de Hamelin promit au joueur de flûte une prime de mille écus pour les débarrasser des rats qui infestaient la ville. L'homme prit sa flûte et attira, par sa musique, les rats qui le suivirent jusqu'à la rivière Weser qui arrose la ville, où ils se noyèrent. Bien que la ville fût ainsi libérée des rongeurs, les habitants revinrent sur leur promesse et refusèrent de payer le joueur de flûte en le chassant à coup de pierres.
Il quitta le pays, mais revint quelques semaines plus tard. Lorsqu'il y eut une nuit paisible, il joua de nouveau de sa flûte, attirant cette fois les enfants de Hamelin. Cent trente garçons et filles le suivirent hors de la ville jusqu'à une grotte qui se referma derrière eux. Selon certaines versions, le joueur de flûte aurait aussi emmené les enfants de Hamelin à la rivière ou au sommet d'une montagne. Les parents, eux, ne les revirent jamais plus.
Il sera le Charmeur de Villageois : Chaque nuit, il pourra charmer 0,1 ou 2 personnes. Mais attention, le charme ne fonctionnera pas sur les méchants. Il ne peut donc charmer que de Simple Personnages Féeriques ou des Gentils Personnages à Pouvoir. S'il essaie de charmer un Méchant,il recevra que son action a échoué. S'il charme l'Egaré alors qu'il n'a pas été recruté, son charme sera également réfuté. En revanche, s'il le charme alors que le recruteur est mort, il fonctionnera. Il gagne lorsque tous les villageois sont charmés. Les Gentils Personnages Féeriques aux pouvoirs spéciauxLe Chat BottéÀ son décès, un vieux meunier laisse à ses trois fils l'intégralité de ses biens. L'aîné hérite du moulin, le cadet de l'âne, et le benjamin du chat. Sans un sou en poche et ne sachant que faire d'un tel cadeau, ce dernier songe à le manger mais le Chat s'avère doué de parole. Contre un sac et une paire de bottes, et avec beaucoup de ruse, l'animal est désormais déterminé à faire la fortune de son maître. Dans ce but, le Chat capture un lapin dans la forêt et l'offre au roi comme un cadeau de son maître, le « marquis de Carabas ». Il se met à amener ainsi régulièrement du gibier au roi, pendant plusieurs mois.
Un jour, sachant que le roi et sa fille voyagent le long de la rivière, le Chat persuade son maître de retirer ses vêtements et d'entrer dans la rivière. Il cache les habits de son maître derrière un rocher, puis appelle à l'aide. Lorsque le roi arrive, le Chat explique que son maître, le « marquis de Carabas » s'est fait dépouiller de ses habits alors qu'il se baignait dans la rivière. Le roi offre de riches vêtements au jeune homme et l'invite à s'asseoir dans son carrosse aux côtés de sa fille qui tombe instantanément amoureuse de lui.
Le Chat court en précédant le carrosse et ordonne aux gens qu'il rencontre tout au long de la route de dire au roi que cette terre appartient au marquis de Carabas. Il entre ensuite dans un château habité par un ogre qui est capable de se transformer en un grand nombre de créatures. L'ogre le reçoit aussi civilement qu'il le peut, et se transforme en lion pour prouver ses capacités, effrayant ainsi le Chat botté. Ce dernier lui demande alors s'il est capable de se changer en souris. Lorsque l'ogre s'exécute, le Chat botté lui saute dessus et le dévore. Le roi arrive au château qui appartenait à l'ogre, et, impressionné par les biens du « marquis de Carabas », offre la main de sa fille au petit meunier. Peu après, le Chat devient grand seigneur, et ne court plus après les souris que pour se divertir.
Il sera L'Orateur Charismatique : Chaque nuit, il pourra choisir un personne qui aura une voix supplémentaire au bûcher. Il ne peut se désigner lui même ni désigner deux nuits de suite les mêmes personnes. PoucetteLa Petite Poucette, dont le titre est Tommelise dans la version originale danoise, est un conte de fée du poète et conteur Hans Christian Andersen.
Une femme en mal d’enfants implore le Ciel de lui venir en aide. Un beau jour, une bonne sorcière entend son appel et dépose à son insu une graine. S’étonnant de la provenance de cette graine, la femme la plante néanmoins : une fillette minuscule sortira de la fleur. Elle décide d’appeler l’enfant Poucette, car elle n’est pas plus haute qu’un pouce.
Un soir, alors que la Petite Poucette est endormie dans la coquille de noix qui lui sert de berceau, elle est enlevée par un crapaud qui souhaite l’offrir en mariage à son fils. Elle parvient cependant à s’échapper en montant sur un tapis de lys voguant à la surface de la rivière voisine. La repérant de loin, un hanneton fond sur elle et la fait prisonnière ; il la montre à ses congénères qui, dégoûtés par l’apparence de Poucette, le rejettent. Dépité, le hanneton finit par s’en débarrasser au pied d’un arbre.
Les premières bourrasques annonçant l’hiver soufflent. La Petite Poucette peine à lutter contre le froid dans ses haillons. Blottie dans un tas de feuilles, elle remarque une hirondelle qui s’est cassé une aile. Poucette la soigne malgré la rudesse du climat, permettant ainsi à l’hirondelle de partir dans les pays chauds et ainsi de sauver sa vie. Elle toque à la porte d’un rat des champs qui lui accorde l’asile ; en échange, elle devra servir de bonne à tout faire. L’hiver passe, Poucette et le rat se lient d’amitié. Quelques mois plus tard, le rat lui suggère au cours d’une conversation inopinée d’épouser le voisin, une taupe. Ce projet n’étant pas du tout du goût de l’intéressée, elle proteste : le rat la menace de la mordre si elle ne se plie pas à sa volonté. Paniquée, elle s’enfuit de la maison.
Dans sa fuite, elle rencontre par hasard l’hirondelle qu’elle avait soignée dans les premiers jours de l’hiver. L’hirondelle l’emporte sur son dos très loin jusqu’à un champ de fleurs. Là, la Petite Poucette rencontre un prince des fleurs, de la même taille qu’elle. Les deux êtres se marient ; en cadeau de noces, la Petite Poucette se voit offrir des ailes pour accompagner son mari lors de ses voyages de fleur en fleur : elle sera désormais Maja, princesse des êtres des fleurs.
Elle sera la Faufileuse : Une nuit dans la partie, elle pourra échapper aux Méchants grâce à sa petite taille. De plus, comme elle est trop petite, elle sera immunisée contre tout pouvoir utilisée contre elle de la part des Méchants. Hansel et Gretel Hansel et Gretel ou Jeannot et Margot1 (en allemand Hänsel und Gretel), est un conte populaire figurant parmi ceux recueillis par les frères Grimm.
Hansel, un petit garçon, et sa sœur Gretel sont les enfants d'un pauvre bûcheron. Craignant la famine, l'épouse du bûcheron – la mère des enfants – le convainc de les perdre dans la forêt. Hansel et Gretel entendent son plan et, recueillant de petits cailloux blancs, marquent le chemin jusqu'à chez eux ; ainsi la tentative de les perdre échoue. Toutefois, la mère pousse le père à réessayer, et cette fois, les deux enfants n'ont que des morceaux de pain à jeter derrière eux. Une fois abandonnés en pleine forêt, ils réalisent que le pain a été mangé par les oiseaux.
En errant dans la forêt, Hansel et Gretel trouvent une maison en pain (les versions suivantes parleront de pain d'épices) avec des fenêtres en sucre, qu'ils commencent à manger. L'habitante de la maison, une vieille femme, les invite et leur prépare un festin. Cependant, la vieille femme est une sorcière qui a construit la maison pour attirer les enfants, afin de les manger. Elle enferme Hansel dans une cage, et fait de Gretel sa servante.
Gretel doit cuisiner afin d´engraisser son frère Hansel et, chaque jour, la sorcière vérifie s'il est suffisamment gras pour être mangé. Comme elle est à moitié aveugle, elle demande à Hansel de lui donner son doigt et celui-ci lui tend à sa place un os. La sorcière a l´impression que Hansel ne grossit pas et les enfants gagnent ainsi du temps. Mais un jour, folle de rage, elle n´a plus la patience d´attendre et décide de manger Hansel.
Alors qu'elle se prépare à cuire Hansel, la sorcière demande à Gretel de regarder dans le four pour voir s'il est prêt. Mais Gretel lui dit qu´elle est trop petite et la sorcière doit vérifier elle-même. Alors qu´elle se penche dans le four, Gretel la pousse et referme la porte derrière elle. La sorcière meurt ainsi carbonisée.
Les enfants prennent les joyaux de la maison de la sorcière et rejoignent leur domicile quelque temps après.
Ils seront les Jumeaux : Deux joueurs incarneront Hansel et Gretel. Ils auront deux potions a disposition : une de vie et l'autre de mort. Ils devront se concerter pour utiliser chacune des potions. Le MJ devra être tenu au courant de toutes leur conversation. De plus, si l'un meurt, l'autre mourra également. Le Petit Chaperon Rouge Le Petit Chaperon rouge est un conte appartenant à la tradition orale. En Europe, il est principalement connu par le biais des versions collectées et retranscrites par Charles Perrault en France et par les frères Grimm en Allemagne.
La plus ancienne version retranscrite et figée est celle de Charles Perrault, parue dans Histoires ou contes du temps passé, avec des moralités en 1697. Cette version sera plus malheureuse et moralisatrice que celles qui suivront. L’héroïne en est une jeune fille bien élevée, la plus jolie du village, qui court à sa perte en donnant au loup qu’elle rencontre dans la forêt les indications nécessaires pour trouver la maison de sa grand-mère. Le loup mange la vieille dame en se cachant des bûcherons qui travaillent dans la forêt voisine. Il tend ensuite un piège au Petit Chaperon rouge et finit par la manger. L’histoire en finit là, sur la victoire du loup. Pas de fin heureuse pour l’héroïne, la morale de Perrault est sans appel.
Au xixe siècle, deux versions distinctes furent rapportées par Jacob et Wilhelm Grimm : la première par Jeanette Hassenpflug et la seconde par Marie Hassenpflug . Les deux frères firent de la première version l’histoire principale et de la seconde une suite. L’histoire de Rotkäppchen parut dans la première édition de leur collection Kinder- und Hausmärchen. Dans cette version, la fillette et sa grand-mère sont sauvées par un chasseur qui suivait la piste du Loup. La suite montre la fillette et sa grand-mère piégeant et tuant un autre loup, anticipant ses gestes grâce à l’expérience acquise au cours de la première histoire.
Les frères Grimm modifièrent l’histoire dans les éditions postérieures, jusqu’à atteindre la version la plus connue dans l’édition de 1857. Cette version édulcorée, largement répandue, raconte l’histoire d’une petite fille qui traverse la forêt pour apporter un morceau de galette, une bouteille de vin à sa grand-mère. En chemin, la fillette fait la rencontre d’un loup, qui la piège à la fin et la dévore elle et sa grand-mère. Un chasseur vient néanmoins pour les sauver en ouvrant le ventre du Loup. Le Petit Chaperon rouge et sa grand-mère en sortent saines et sauves.
Elle sera la porteuse au panier : Chaque nuit, les villageois pourront m'envoyer des messages que je ferai passer au petit chaperon rouge. Elle les triera pour les envoyer soit aux autres villageois, soit les mettre sur la place publique. Les messages ne doivent pas être nominatifs. Tous les messages nominatifs ne seront pas validés. Marraine la fée La fée marraine, parfois appelée marraine la fée ou marraine la bonne fée, est un personnage récurrent des contes : il s'agit d'une fée, parfois munie d'une baguette, qui met sa bienveillance et ses pouvoirs surnaturels au profit exclusif de son ou sa filleule, auprès de qui elle joue un rôle de protecteur ou mentor, comme on peut l'attendre d'une marraine dans de nombreuses sociétés. Elle se penche sur le berceau du héros nouveau-né pour lui prodiguer des dons : de l'esprit (Riquet à la houppe), grâce, beauté (La Belle au bois dormant), où elle l'assiste et le protège à l'adolescence d'un père abusif (Peau d'âne), d'une marâtre tyrannique et de demi-sœurs cruelles (Cendrillon, Les Fées) ou d'un sort lancé par une méchante fée (la Belle au bois dormant).
Elle sera l'Omnisciente : Chaque nuit, elle pourra aller voir une personne et voir son rôle exact. Le Vaillant Petit TailleurLe Vaillant Petit Tailleur, Le Hardi Petit Tailleur ou Sept d'un coup (en allemand Das tapfere Schneiderlein) est un conte populaire allemand qui figure parmi ceux recueillis par les frères Grimm
n tailleur se prépare à manger une tartine de crème, mais elle attire les mouches. Le tailleur, excédé, frappe dans le tas avec une pièce d'étoffe et en tue sept d'un coup. Pour marquer cet exploit, il se fabrique une ceinture sur laquelle il brode les mots : « Sept d'un coup ». Stimulé par son haut fait, il part dans le monde, décidé à relever tous les défis. Il part avec, en poche, seulement un fromage et un oiseau.
Illustration de Carl Offterdinger, extraite de Mein erstes Märchenbuch, Wilh. Effenberger, Stuttgart, [fin du xixe siècle].
Le tailleur rencontre un géant qui, en voyant sa ceinture, s'imagine que « Sept d'un coup » fait référence à sept hommes. Le géant décide alors de mettre le tailleur à l'épreuve. Quand le géant prend une pierre et la serre si fort qu'il en fait sortir de l'eau, le tailleur sort de sa poche le fromage, qu'il fait passer pour une pierre, et le presse de façon à le faire suinter. Le géant lance une pierre loin dans les airs, mais elle finit par retomber ; le tailleur sort de sa poche l'oiseau, qu'il fait passer pour une pierre, le lance, et il ne retombe jamais. Le géant défie ensuite le tailleur de l'aider à transporter un arbre. Le tailleur s'arrange pour devoir porter les branches tandis que le géant portera le tronc mais, en fait, au lieu de porter les branches, il monte sur l'arbre, de sorte que le géant porte non seulement l'arbre mais également le tailleur. Le petit homme réussit enfin à faire croire au géant qu'il peut sauter par-dessus un arbre, ce que le géant tente de faire, mais sans y parvenir.
Le géant emmène ensuite le tailleur dans son antre, où vivent aussi d'autres géants. Vers minuit, le géant essaye de tuer le petit homme en abattant une barre de fer sur son lit, mais le tailleur, trouvant son lit trop grand, a préféré dormir blotti dans un coin de la chambre. Le lendemain, en voyant le tailleur toujours en vie, les autres géants, effrayés, prennent la fuite.
Le récit des exploits du tailleur parvient aux oreilles du roi, qui l'engage à son service. Cependant, les autres soldats craignent que le tailleur ne perde un jour son sang froid et qu'il fasse alors périr sept d'entre eux à chaque coup. Ils disent au roi qu'ils partiront si le tailleur reste. De peur que le petit homme ne le tue s'il le démet de ses fonctions, le roi l'envoie défier d'autres géants en lui promettant, s'il réussit, de lui offrir la moitié de son royaume et la main de sa fille. Le tailleur trouve deux géants endormis au pied d'un arbre, monte sur l'arbre et laisse tomber des pierres sur eux. Chacun d'eux croit que c'est l'autre qui l'agace. Ils se battent et finissent par s'entretuer. Le roi envoie le tailleur capturer une licorne. Le tailleur en trouve une, se met devant un arbre et incite la créature à le charger. Au dernier moment, il fait un pas de côté, et la licorne plante sa corne dans l'arbre et reste coincée. Le roi envoie ensuite le tailleur capturer un sanglier, mais le tailleur réussit à enfermer l'animal dans une chapelle.
Le roi est finalement bien obligé de donner la moitié de son royaume au tailleur, lequel peut aussi épouser la fille du roi. Tandis qu'elle est au lit avec son mari, la fille du roi l'entend parler dans son sommeil et comprend qu'il n'est qu'un simple tailleur. Le roi décide d'envoyer des hommes tuer son gendre tandis qu'il dort. Prévenu du complot et alors que les tueurs sont dans sa chambre, le tailleur fait semblant de dormir et de parler dans son sommeil, et il dit que c'est bien lui qui a réalisé tous ces exploits et qu'il n'a pas peur des hommes cachés derrière la porte. Les tueurs, terrifiés, s'enfuient, et plus jamais par la suite le petit tailleur, devenu roi, ne sera ennuyé.
Il sera le Petit Malin : Chaque nuit, il pourra empêcher une personne d'agir et de recevoir des actions. Les Simples Personnages FéeriquesAli BabaAli Baba est un pauvre bûcheron. Un jour, alors qu'Ali Baba coupe du bois, il entend des voix : il se cache dans un arbre où il entend le chef des quarante voleurs prononcer la formule magique qui permet d'ouvrir une porte dans la roche : « Sésame, ouvre-toi ! » et la formule magique pour la fermer : « Sésame, ferme-toi ! ». Après le départ des bandits, Ali Baba prononce la formule et entre dans la grotte, découvre des trésors accumulés et emporte une partie de l'or. Son frère Cassim, qui est un riche marchand, est surpris par la fortune soudaine d'Ali Baba qui lui raconte son aventure. Cassim va à la caverne, mais troublé par la vue de tant de richesses, ne retrouve plus la formule qui lui permettrait de sortir de la grotte. Les bandits le surprennent dans la grotte, le tuent et découpent son corps en morceaux. Ali Baba, inquiet de l'absence de son frère, va à la grotte et découvre les restes de celui-ci, qu'il ramène chez lui. Avec l'aide de Morgane, son esclave très habile, il réussit à enterrer son frère sans attirer l'attention de ses connaissances.
Les bandits, ne retrouvant plus le cadavre, comprennent qu'une autre personne connaît leur secret. Ils finissent par repérer la maison d'Ali Baba. Leur chef se fait passer pour un marchand d'huile et demande l'hospitalité à Ali Baba. Il est accompagné par un convoi de mules portant trente-huit jarres. Une d'elle est remplie d'huile et chacune des trente-sept autres cache un des bandits. Ils projettent de tuer Ali Baba pendant son sommeil. Morgiane découvre leur plan et tue les bandits cachés dans les jarres en versant de l'huile bouillante dans chacune d'elles. Quand le chef va chercher ses complices, il découvre ses hommes décédés et fuit.
Pour se venger, quelque temps après, le chef des bandits s'établit comme commerçant et se lie d'amitié avec le fils d'Ali Baba, désormais en charge des affaire de feu Cassim. Le chef des bandits est invité à dîner chez Ali Baba, où Morgiane le reconnaît. Celle-ci effectue alors une danse munie d'une dague, qu'elle plonge dans le cœur du bandit. Dans un premier temps, Ali Baba est furieux de voir son hôte exécuté, mais lorsqu'il découvre que le bandit a tenté de l'assassiner, il rend sa liberté à Morgiane et la donne en mariage à son fils. Ali Baba est ainsi la seule personne à connaître le secret du trésor dans la grotte et le moyen d'y accéder. L'histoire finit bien pour tous, à l'exception de Cassim et des quarante voleurs.
Il sera Simple Personnage FéeriqueBlanche-Neige (Schneewittchen en version originale allemande) est le titre d'un conte célèbre en Europe et en Amérique du Nord, dont la version la plus connue est celle de Jacob et Wilhelm Grimm.
Une reine se désolait de ne pas avoir d'enfant. Un jour d’hiver, alors qu'elle était assise près d'une fenêtre au cadre d'ébène, elle se piqua le doigt en cousant et quelques gouttes de sang tombèrent sur la neige. « Ah ! » se dit la reine, « Si j'avais un enfant, au teint blanc comme la neige, aux lèvres rouges comme le sang et aux cheveux noirs comme le bois d’ébène ! ».
Peu de temps après, elle mourut en accouchant d'une petite fille. Le roi prit une nouvelle épouse, belle mais méchante, orgueilleuse et jalouse de « Blanche-Neige ». Son miroir magique lui répétait qu'elle était la plus belle femme du royaume, jusqu'au jour où il dut reconnaitre que Blanche-Neige était devenue plus belle que sa marâtre. La reine demanda alors à un chasseur d'aller tuer l'enfant, mais l'homme se contenta de l'abandonner dans les bois.
Errant dans la forêt, Blanche-Neige découvrit une petite maison où elle entra se reposer. C'était la demeure des sept nains qui, apitoyés par son histoire, acceptèrent de la cacher et de la loger comme servante.
La méchante reine, apprenant grâce au miroir que Blanche-Neige était toujours vivante, essaya par trois fois de la faire mourir. La troisième fois, déguisée en paysanne, elle trompa la vigilance de la jeune fille et réussit à lui faire croquer une pomme empoisonnée. Blanche-Neige tomba inanimée. Affligés, les nains lui firent un cercueil de cristal qu'ils déposèrent sur une colline afin que toutes les créatures puissent venir l'admirer.
Un prince qui chevauchait par là en tomba amoureux. Il obtint des nains la permission d'emporter le cercueil. Mais en route un porteur trébucha, délogeant le morceau de pomme coincé dans la gorge de la jeune fille qui se réveilla. Le prince lui demanda sa main.
Invitée au mariage, la méchante reine, lorsqu’elle reconnut Blanche-Neige, elle fut prise d'une telle rage qu'elle tomba terrassée par sa propre jalousie.
Elle sera Simple Personnage FéeriqueLa Gardeuse D'oies Une princesse doit quitter sa mère la reine pour rejoindre l'époux qui lui est destiné. Celle-ci lui fait don d'un mouchoir sur lequel elle dépose trois gouttes de son sang puis lui offre un cheval nommé « Falada » et une camériste. La jeune fille part ensuite pour rejoindre son époux mais en chemin, elle perd le précieux mouchoir que lui avait donné sa mère.
Or ce mouchoir avait le pouvoir de la protéger ; elle devient donc faible et incapable de se défendre. La camériste qui l'accompagne, voyant qu'elle a perdu son mouchoir et qu'elle est désormais à sa merci, l'oblige à échanger ses habits avec elle et prend sa place en lui faisant promettre de ne jamais révéler son secret. Arrivé au château, la camériste épouse le prince et la jeune princesse est obligée de garder les oies du roi. La camériste fait ensuite tuer le cheval Falada qui avait le pouvoir de parler et pourrait révéler son secret. Mais la princesse obtient le droit d'accrocher la tête de Falada sur une porte et lui parle chaque jour en passant devant. Or même morte, la tête a toujours le pouvoir de parler et lui répond inlassablement :
« Ô jeune reine, comme tu vas là, si ta mère savait cela, son cœur volerait en éclats. »
C'est ainsi que le roi apprend un jour l'identité de la princesse. Mais comme celle-ci refuse de trahir sa promesse, il lui suggère de se confier à un poêle et apprend enfin toute la vérité. La camériste subit son supplice et meurt dans un tonneau rempli de clous. La jeune princesse épouse le prince.
Elle sera Simple Personnage FéeriquePeau d'ÂneMourante, une reine se fait promettre par le roi de ne prendre pour nouvelle épouse qu'une femme plus belle qu'elle. Mais la seule personne capable de rivaliser avec sa beauté n'est autre que sa propre fille, et le roi lui fait sa demande. Pour échapper à cette union incestueuse et sur les conseils de sa marraine, la princesse demande à son père, pour sa dot, des robes irréalisables, mais il parvient toujours à les lui offrir. Elle lui demande alors de sacrifier son âne qui produit des écus d'or et le roi s'exécute. La princesse s'enfuit alors du château, revêtue de la peau de l'âne. Elle emporte avec elle sa toilette et ses plus belles robes. Le prince d’un autre royaume, où s'est installée Peau d'âne comme servante, la voit sans la reconnaître alors qu'elle était en tenue de princesse. Il demande alors que Peau d'âne lui fasse un gâteau. En faisant la galette, elle laisse tomber sa bague dans la pâte. Le prince demande immédiatement que toutes les femmes et demoiselles du pays viennent essayer la bague. Aucune ne peut passer la bague. Enfin on fait venir Peau d'âne. Le prince l'épouse et la princesse évite ainsi le mariage avec son père.
Elle sera Simple Personnage FéeriqueLe Petit Soldat de PlombLe Stoïque Soldat de plomb (ou le Vaillant soldat de plomb ou L’Intrépide Soldat de plomb) est un conte de Hans Christian Andersen.
Le jour de son anniversaire, un petit garçon reçut une boîte de 25 soldats de plomb. L'un d'entre eux était un peu différent des autres car il n'avait qu'une seule jambe. Les soldats furent rangés sur une table, où il y avait beaucoup d'autres jouets. Le soldat de plomb qui n'avait qu'une jambe remarqua parmi eux une danseuse, qui se tenait gracieusement sur une seule jambe, et la croyant unijambiste comme lui, il pensa que ce jouet lui ferait une femme merveilleuse. Le soir, quand les gens de la maison furent couchés, tous les jouets se mirent à faire la fête. Le vaillant soldat de plomb restait immobile et fixait des yeux la danseuse. Minuit sonna alors et un diable en boîte s'ouvrit, qui se mit à avertir le soldat de plomb de ne pas la regarder. Mais le soldat continua à regarder la danseuse.
Le lendemain, alors qu'on l'avait posé sur la fenêtre, le soldat de plomb fut enlevé par le diable en boîte et tomba la tête la première du troisième étage, entre deux dalles. L'enfant et sa bonne le cherchèrent, mais sans succès. Ce furent deux autres garçons qui le trouvèrent ensuite et qui décidèrent de le faire voguer dans le caniveau, sur un bateau en papier. Le soldat de plomb navigua le long du trottoir puis tomba dans les égouts. Après avoir croisé un rat en fureur, n'ayant pas la permission de voguer sur son territoire, il déboucha sur un ruisseau, où il fut avalé par un gros poisson. Le poisson fut pêché, acheté au marché, amené dans une cuisine et coupé. On retrouva le soldat de plomb et le plaça sur une table.
Celui-ci se rendit compte qu'il était arrivé dans la même salle qu'auparavant, dans la maison de l'enfant. Il vit alors la danseuse et fut ému. Mais un petit garçon prit le soldat et le jeta dans le poêle (sûrement sous l'influence du diable en boîte). Le soldat de plomb fut brûlé. Quelqu'un ouvrit une porte et la danseuse tomba, dans la poêle aussi, avec le soldat de plomb. Ils fondirent ensemble. À la place du soldat de plomb, il ne restait qu'un cœur de plomb et à la place de la danseuse, une paillette.
Il sera Simple Personnage Féerique. PierrePierre et le Loup (Петя и волк en russe) est un conte musical pour enfants, dont le compositeur russe Sergueï Prokofiev.
Pierre, un jeune garçon, vit dans la campagne russe avec son grand-père. Un jour, il laisse la porte du jardin ouverte : un canard profite de l'occasion pour aller nager sur la mare toute proche. Il se querelle avec un oiseau. À ce moment, un chat s'approche ; l'oiseau, alerté par Pierre, s'envole pour se réfugier dans un arbre.
Le grand-père de Pierre ramène le garçon à la maison en bougonnant et referme la porte, car le loup pourrait surgir : de fait, le voici bientôt qui sort de la forêt. Le chat monte se réfugier dans l'arbre pendant que le canard, qui, tout excité, était sorti de la mare, se fait avaler par le loup.
Pierre prend une corde et, en escaladant le mur du jardin, grimpe dans l'arbre. Il demande à l'oiseau d'aller voltiger autour de la tête du loup pour détourner son attention. Pendant ce temps, il forme un nœud coulant avec lequel il parvient à attraper le loup par la queue.
Les chasseurs sortent de la forêt et veulent tirer sur le loup. Mais Pierre les arrête. Tous ensemble entament une marche triomphale pour emmener le loup au zoo.
Il sera Simple Personnage Féerique. Ricquet à la houppeRiquet à la houppe est un conte populaire, dont la version la plus célèbre est celle de Charles Perrault.
Il était une fois, dans un royaume fort lointain, une reine qui accoucha d'un enfant très laid. Mais une fée qui se trouvait à sa naissance dit à la reine que, bien que son fils soit laid, il aurait beaucoup d'esprit et pourrait en faire part à sa bien aimée. Au bout de sept ou huit ans, la reine d'un royaume voisin accoucha de deux petites filles. La première était très jolie, mais la fée dit à la reine qu'elle aurait peu d'esprit. La deuxième était très laide, mais elle aurait tant d'esprit que personne ne s'apercevrait de sa laideur. Toutes deux pouvaient transmettre ou leur beauté ou leur esprit à celui qu'elles épouseraient. Au fur et à mesure qu'elles grandissaient, on ne s'intéressait qu'à la princesse douée d'esprit et personne ou presque ne remarquait la belle princesse. Un jour où la belle princesse se retira dans un bois pour pleurer, elle vit un homme très laid. C'était Riquet à la houppe, qui la consola et la demanda en mariage pour pouvoir lui donner de l'esprit en plus de sa beauté. La princesse avait si peu d'esprit qu'elle accepta de l'épouser dans un an jour pour jour et Riquet lui transmit son esprit comme la fée lui en avait donné le pouvoir. Tous les jeunes princes du royaume allèrent à sa rencontre car elle était belle et était devenue intelligente, mais elle refusa leurs mains car elle voulait réfléchir avant de prendre une décision. Puis elle retourna dans le bois pour réfléchir. Tout à coup le sol s'ouvrit sous ses pieds et une cuisine remplie de personnes surgit de terre. Cela faisait un an exactement qu'elle availa beauté à son mari. Celle-ci céda et ils se marièrent avec le consentement du père de la princesse.
Il sera Simple Personnage Féerique