Probablement pas, je pense qu'au bout d'un siècle ou deux on doit commencer à se faire chier, non ? Et certainement pas pour voir mourir tous ceux de mon entourage qui n'auraient pas cette "chance" et finir par les oublier.

Penses-tu qu'une troisième guerre mondiale pourrait survenir à courte échéance (courant 21è siècle) ?

Je pense. A quelle échéance exacte, je n'en sais rien, mais je crois que viendra un moment où un pays sera plus taré/moins peureux que les autres et frappera le premier. Et là, tout le monde va se lâcher. Et ça me réjouit pas du tout du tout du tout.

Penses-tu qu'il est possible de stopper la montée des extrêmes-droites en Europe ?

Pas sans une économie qui va de l'avant, des politiques plus efficaces/crédibles (les hommes comme les mesures) et/ou un minimum de mesures "extrémistes".

Ton avis sur la majorité à 16 ans ?

Spoiler:

Que pensez vous .... hum ... du mlle qui est rayé ?

Vous pouvez répéter la question ?

"Que pensez vous .... hum ... du mlle qui est rayé ?"

Càd la suppression de la mention "mademoiselle" des documents officiels.
Je trouve que c'est de la connerie pure et simple. Soi-disant que ça évite une présomption de disponibilité des "mademoiselles" (célibataires) et par conséquent, des attitudes sexistes et lourdes à leur égard. En tant que scientifique et en tant qu'humaniste, je dirais : bullshit.
Qu'on soit mariées ou pas, si un homme a envie de nous mettre la main aux fesses, de nous siffler ou de nous dire qu'il nous ferait bien tout un tas de choses qu'il a vues dans ses films de chevet, il le fera. C'est pas en se faisant appeler "Madame" que ça changera les mentalités.
Bref, un combat perdu, qui fait passer l'ensemble des féministes pour des agitées du bocal, et qui n'a aucune utilité. Les vrais problèmes sont graves, nombreux, et surtout ils sont ailleurs.
(En plus j'aime pas qu'on m'appelle madame.)

As-tu compris la référence pop-culturelle dans le paragraphe ci-dessus ?

Et puis c'est joli comme mot mademoiselle... J'aime bien la sonorité.

En tout cas la première fois qu'on t'appelle Madame, ça te fait un petit choc  
T'as un petit mouvement de sursaut, voir de recul  pis....tu t'habitues. 

Je laisse Malé répondre à la question.

"Heu, non, ça c'est vous." xD
J'ai hâte ! Vivement janvier !

Tu connais pas Sheraf ?

Euh... Beaucoup de chose, comme le voyeurisme par exemple.
Oh et une des choses qui m'insupportent: ceux qui font des statuts "philosophiques"
(Du genre " Il y a deux types de personnes dans la vie. Celles qui te font perdre ton temps et celles qui te font perdre la notion du temps." --' (citation de facebook))

Si tu pouvais faire une chose illicites sans aucun préjudice, que ferais tu?

Elesia Dorgevie a écrit:

Du genre " Il y a deux types de personnes dans la vie. Celles qui te font perdre ton temps et celles qui te font perdre la notion du temps." --' (citation de facebook)) 

Flûte, grillé .

Pour répondre à la question d'Elesia : très probablement, si c'est quelque chose que j'ai envie de faire et qui ne me causera pas un sentiment de culpabilité.

Peut-on apprécier une oeuvre "malgré soi" ? (càd en se disant qu'on ne devrait pas...)

Ha ha question intéressante qui me fait penser aux goûts de chacun en musique, série télé ou film, même si tu pensais peut être à l'art avec un grand A.

Je me dis souvent : "j'aime bien mais je sais que c'est pas terrible, voir superficiel". J'ai pas de complexe ou de sentiment de culpabilité à ce sujet. Je sais qu'il y a certains trucs en musique que j'aime qui ne sont vraiment pas fameux, et des séries télés que je pourrais éviter de regarder mais c'est comme un bouquin populaire qui te divertit.
Pour moi tant que ça te provoque une émotion, même sans te "nourrir l'âme" (quote Arthur), ça me va.
Bref, si ça me rend heureuse, joyeuse, triste, que ça me donne envie de réfléchir ou de danser, que je ne me sens pas offensée par ce que je regarde ou écoute : ça me suffit et c'est pareil pour l'Art.


J'aime bien cette question : Peut-on apprécier une oeuvre "malgré soi" ? (càd en se disant qu'on ne devrait pas...)

Allez, j'y réponds. Oui, dix mille fois oui. Et j'irais même au-delà : on peut remplacer le terme "œuvre" par le terme "personne". On n'a pas le monopole de nos émotions, de nos réactions affectives. C'est bien d'être surpris. Un exemple tout con, c'est la chanson que Mogh' avait envoyée à Sylph sur FB : "bubblegum bitch", quelque chose comme ça. C'est nul, mais c'est nul ! Et pourtant, j'ai kiffé. Lol.

Vouloir le bonheur, c'est déjà un peu le bonheur ? Argumentez.

Mais vouloir le bonheur risque de nous faire passer à côté. Le chercher, le provoquer, le forcer ou simplement tenter de l entrevoir dans des petites choses simples et basiques : être la, regarder un coucher de soleil, tenir la main dans quelqu'un qui en avait besoin, voir un proche heureux. ....

En fait qu est ce que le bonheur ?

Pied de biche : plus d'allonge, plus de possibilités d'utilisation, une centaine d'heures de jeu sur Half-Life

Peut-on ne pas apprécier une œuvre "malgré soi" ? (c'est à dire en se disant qu'on devrait)

Comme l'a dit si bien Arthur, on a pas le monopole de nos émotions. Je pense que ça va dans les deux sens.
On peut reconnaître la qualité d'une oeuvre, voir tout son aspect technique, la recherche poussée faite pour la création etc. et pourtant ne pas aimer l'oeuvre. Par exemple, on peut reconnaître la grande technique d'un peintre dans son oeuvre, et pourtant ne pas l'aimer, on devrait vu le travail exemplaire et pourtant non.
Par conséquent : oui

peut on rire de tout?

Je répondrai à citant l'un de mes maîtres à penser : oui, mais pas avec tout le monde.

L'usage de la violence peut-il être justifiable ? (la violence, pas la force, nuance)

Garnier. Parce que j'ai toujours préféré les clowns blancs aux augustes.

Je me retrouve toute seule après avoir passé un super weekend avec des amis. Ça te dit qu'on aille se siffler deux-trois rhums griotte histoire de me changer les idées ?

Tu siffles, moi je conduis. J'ai arrêté l'alcool.

Peut-on couper les spaghettis ?

Spoiler:

Arrêter l'alcool ce n'est pas un peu trop "tout blanc"/"tout noir" comme solution ?

Si, c'est manichéen. Et pour répondre à Maléfique j'ai eu l'occasion de voir un ou deux alcooliques, dans les sens accro et malade du terme, plus une belle quantité de mecs bourrés. Le résultat est rarement beau, les gains insignifiants. J'ai décidé que ça ne m'arriverait pas.

Abolir la peine de mort  ce n'est pas un peu trop "tout blanc"/"tout noir" comme solution ? :troll:

Mogh a écrit:

Je me retrouve toute seule après avoir passé un super weekend avec des amis.

Appelle Yann et intègre le à la communauté  

Mulet, je te comprends tout à fait, sans promettre de ne plus boire d'alcool, jamais je ne serai saoule à dégueuler et à ne plus savoir où je suis, ça n'apporte rien, tu ne profites pas de ta soirée, et en plus c'est très égoïste pour les personnes qui doivent te supporter et te tenir la cuvette des chiottes...

Bref, la peine de mort. Je bénis Badinter qui l'a abolie en France. Quand tu vois où ils en sont au Etats Unis, à revoir des procès de condamnés à mort juste avant l’exécution. La justice ne sera jamais totalement impartiale et omnisciente, des innocents seront toujours condamnés à tort, d'ailleurs, ton "blanc/noir" me fait bien marrer.

Que veulent les hommes ?

Quelle bonne idée Moza

Et pour répondre à ta question : si seulement je le savais !!!!

De quoi as-tu peur ?

De tellement de choses... D'échouer en public, de la chute libre, de la déchéance physique... Maintenant que je me relis j'ai l'impression qu'il y a un dénominateur commun : la perte de contrôle.

Qui est Yann ?

@Moza : Le blanc/noir est simplement repris à Nouxe dans une sorte d'utilisation du deuxième stratagème, ceci afin de démontrer qu'une décision importante et lourde de conséquence est souvent absolue.
@Mogh' : Moi je sais !....