la politique française, les banques en général, les personnes hautaines.

Que (ou qui) adore tu ?

Ma nièce, mon rayon de soleil ..

Qui ou quoi déteste tu ?

La déloyauté.

Est-ce le bon moment pour investir dans l'immobilier ?

Mulet a écrit:

Est-ce le bon moment pour investir dans l'immobilier ?

Carrément, les prix ont bien baissé !

Mulet a écrit:

Non, cela n'empêche pas, de l'apprécier quand elle existe, ça empêche par contre de s'en inventer.

Je considère qu'au contraire on voit de la Poésie où on veut bien en voir, et donc qu'on peut en inventer tant que notre esprit est capable de l'apprécier

Mulet a écrit:

Et pourquoi la poésie devrait aider à lutter contre la tristesse d'ailleurs ?

Le simple fait de l'exprimer apaise déjà notre tristesse.
Tes vers sont beaux, tristes c'est vrai mais beaux.

Le fait de comprendre les lois de l'univers (être cartésien donc) n'altère pas l'admiration et la fascination que j'ai pour ce dernier.
Peux-tu m'expliquer comment tu associes le fait d'être cartésien à la tristesse ?

Volthor a écrit:

Peux-tu m'expliquer comment tu associes le fait d'être cartésien à la tristesse ?

Le fait d'être cartésien, par définition, implique quasiment totalement de se défaire de ses émotions, de ses intuitions, de ses croyances, afin de faire place à la Logique (avec un grand L, oui oui monsieur !). Nulle place pour le rêve, les fanfaronnades, les divertissements. Dans les moments où l'on se veut cartésien, on construit avec la Logique, avec l'Ingelligence, avec la Raison. Être complètement cartésien, c'est renier une part de nous-même qui nous fait profiter de la vie, au profit d'une autre (part), qui va chercher à la comprendre (la vie). Donc ironiquement, être cartésien, c'est se défaire de ses émotions, c'est donc triste.

C'est mon point de vue sur la question.

Tu aimes les écharpes ?

Sylph a écrit:

Le fait d'être cartésien, par définition, implique quasiment totalement de se défaire de ses émotions, de ses intuitions, de ses croyances, afin de faire place à la Logique (avec un grand L, oui oui monsieur !). Nulle place pour le rêve, les fanfaronnades, les divertissements. Dans les moments où l'on se veut cartésien, on construit avec la Logique, avec l'Ingelligence, avec la Raison. Être complètement cartésien, c'est renier une part de nous-même qui nous fait profiter de la vie, au profit d'une autre (part), qui va chercher à la comprendre (la vie). Donc ironiquement, être cartésien, c'est se défaire de ses émotions, c'est donc triste.

D'une part si tu te défais de tes émotions quand tu endosses ton esprit cartésien : tu n'es donc pas triste puisque tu tais tes émotions.
D'autre part, nous n'en avons absolument pas la même définition. Pour ma part, mon côté cartésien cherche également à comprendre la vie et bien d'autres choses, mais je ne la dissocie pas de la fascination que j'ai pour mon environnement qui en est au contraire le moteur. De ce fait : mes raisonnements sont en grande majorité cartésiens et loin d'être tristes, ils sont même généralement heureux

Sylph a écrit:

Tu aimes les écharpes ?

Evidemment, quelle question
Mais c'est plus trop la saison (enfin là où je suis )

Comment définis-tu l'ingénierie ? Penses-tu que la vie est un processus "ingénieux" ?

Jumping in : si mes souvenirs de cours de philo sont corrects (Arthur vous dira ça mieux que moi de toute façon), le raisonnement originel de Descartes consistait à douter de tout, et à ne considérer comme vrai que ce qui est totalement irréfutable (cogito ergo sum, bla bla bla). Sur cette base, les émotions, quelles qu'elles soient, sont à écarter, car des créations de l'esprit, elles sont trompeuses.
Du coup, je ne comprends pas bien comment tu peux avoir des raisonnements à la fois cartésiens et heureux (u n'importe quelle autre émotion).

Et je passe ta question, manque de temps et trop compliqué pour mon intelligence limitée.

Volthor a écrit:

Sylph a écrit:

Le fait d'être cartésien, par définition, implique quasiment totalement de se défaire de ses émotions, de ses intuitions, de ses croyances, afin de faire place à la Logique (avec un grand L, oui oui monsieur !). Nulle place pour le rêve, les fanfaronnades, les divertissements. Dans les moments où l'on se veut cartésien, on construit avec la Logique, avec l'Ingelligence, avec la Raison. Être complètement cartésien, c'est renier une part de nous-même qui nous fait profiter de la vie, au profit d'une autre (part), qui va chercher à la comprendre (la vie). Donc ironiquement, être cartésien, c'est se défaire de ses émotions, c'est donc triste.

D'une part si tu te défais de tes émotions quand tu endosses ton esprit cartésien : tu n'es donc pas triste puisque tu tais tes émotions.
D'autre part, nous n'en avons absolument pas la même définition. Pour ma part, mon côté cartésien cherche également à comprendre la vie et bien d'autres choses, mais je ne la dissocie pas de la fascination que j'ai pour mon environnement qui en est au contraire le moteur. De ce fait : mes raisonnements sont en grande majorité cartésiens et loin d'être tristes, ils sont même généralement heureux

Attention à ne pas confondre le point de vue de l'être cartésien et le point de vue de celui qui regarde l'être cartésien. La tristesse n'est pas forcément propre à celui qui serait cartésien, elle est propre à son état tel que vue par un être non cartésien. Enfin moi, c'est ce qui me rend triste quand je vois des gens bornés à la logique et qui en oublient de vivre, ou de suivre leur instincts, leurs envies. Ca ne veut pas dire que ces gens seront tristes dans leur vie. D'ailleurs, s'ils vivent ainsi, c'est surement que cela les satisfait. Quand j'endosse mon esprit cartésien, en effet, je ne suis plus triste. C'est un autre moi qui devient triste et mélancolique. Mais le temps que je sois cartésien, je mets ce moi au placard (et il ne s'en plaint pas, car il sait qu'il aura son mot à dire par la suite).
Dans mon explication, il faut donc bien faire attention à dissocier le fait d'être cartésien (qui peut rendre heureux, en effet, raisonnement sur la vie, satisfaction intellectuelle, toussa toussa, mais qui dans ses raisonnement se doit de bannir les sentiments), avec la perception que l'on a du cartésianisme (qui peut faire surgir de la tristesse, qui peut donner une impression de manque, de privation....).

Volthor a écrit:

Sylph a écrit:

Tu aimes les écharpes ?

Evidemment, quelle question
Mais c'est plus trop la saison (enfin là où je suis )

En même temps, quand on voit l'usage que tu en fais, de tes écharpes....

Volthor a écrit:

Comment définis-tu l'ingénierie ? Penses-tu que la vie est un processus "ingénieux" ?

Je définis l'ingénierie comme la capacité à trouver des solutions à des problèmes, avec un degré plus ou moins avancé d'inventivité et de malice, et faisant appel à une capacité d'appropriation et de reformulation du problème en question.

Je ne comprends pas la deuxième question. Si al vie était un processus ingénieux, cela voudrait dire qu'elle été créé par quelqu'un (ou quelque chose) qui voulait résoudre un problème. N'ayant connaissance ni de cette personne (ou de cette chose), ni du problème, je ne peux pas juger du côté ingénieux de la vie en tant que processus. Si ça se trouve, la vie a été créée et n'a même pas résolu le problème de base.

Après, de part sa complexité, on peut supposer que oui, la vie a un côté très ingénieux, quel qu'en soit le cadre ayant nécessité sa création. Plonger des êtres vivants dans un tel brouhaha d'évènements suivant parfois peu de logique, sans but final clair et précis, tout en réussissant à les convaincre de continuer à vivre et à se reproduire, tout en réussissant à les convaincre qu'il faut espérer envers et contre tout.... Il fallait le faire. Ca m'a l'air ingénieux, comme processus.


Et toi, qu'en penses-tu, de cette question :

Volthor a écrit:

Comment définis-tu l'ingénierie ? Penses-tu que la vie est un processus "ingénieux" ?

Je ne fais tellement pas attention à la marque... C'est pas ça qui compte, c'est la coupe et l'apparence. (Aussi bien pour moi-même que chez les autres...ahem...)

Quelle importance attaches-tu aux marques ?

Aux marques de fringues, zéro. En informatique c'est pas pareil...

@Volthor : Je crois que le cartésianisme n'est pas un état d'esprit naturel, c'est une réflexion consciente, et en tant que telle, elle ne peut pas être maintenue de façon permanente. Donc quand je suis cartésien je ne suis sujet à aucune émotion, je tente simplement d'analyser un problème ou une réalité de la façon la plus cartésienne possible. Une fois ce travail terminé, je retourne à mon moi de tous les jours, ce qui fait que je cumule mes conclusions cartésiennes avec mes émotions bien humaines. A ce stade je me rends compte que la foi en Dieu par exemple, m'est inaccessible, or la foi est une béquille bien pratique pour ceux qui l'ont, elle permet de se détacher de certains problèmes, de croire que tout finira par s'arranger, que Dieu a un grand plan pour nous et que nous ne nous agitons pas vainement jusqu'à un inévitable néant. Et du coup je m'aperçois au bout d'un moment que je me suis coupé d'un certain nombre de moyens qu'à l'homme de se créer de l'espoir. Donc tristesse.

Crois-tu possible de réellement connaître une personne ?

Absolument. Mais cela prend du temps. Des années. Et ça dépend des personnes, aussi. Certaines sont beaucoup plus difficiles à atteindre et à cerner que d'autres.

Quelle est ta tessiture ?

Mulet a écrit:

@Volthor : Je crois que le cartésianisme n'est pas un état d'esprit naturel, c'est une réflexion consciente, et en tant que telle, elle ne peut pas être maintenue de façon permanente. Donc quand je suis cartésien je ne suis sujet à aucune émotion, je tente simplement d'analyser un problème ou une réalité de la façon la plus cartésienne possible. Une fois ce travail terminé, je retourne à mon moi de tous les jours, ce qui fait que je cumule mes conclusions cartésiennes avec mes émotions bien humaines. A ce stade je me rends compte que la foi en Dieu par exemple, m'est inaccessible, or la foi est une béquille bien pratique pour ceux qui l'ont, elle permet de se détacher de certains problèmes, de croire que tout finira par s'arranger, que Dieu a un grand plan pour nous et que nous ne nous agitons pas vainement jusqu'à un inévitable néant. Et du coup je m'aperçois au bout d'un moment que je me suis coupé d'un certain nombre de moyens qu'à l'homme de se créer de l'espoir. Donc tristesse.

Mulet, le mec qui lisait en moi comme dans un livre ouvert.

Mulet a écrit:

Crois-tu possible de réellement connaître une personne ?

Oui, on peut réellement connaitre quelqu'un. C'est à ne pas confondre avec connaitre complètement quelqu'un.
On peut en connaitre beaucoup de facettes, mais je ne pense pas qu'on puisse absolument tout connaitre de quelqu'un, non. Il y a toujours des pensées, des jardins secrets. On peut les deviner, les entrevoir. C'est ça, connaitre réellement quelqu'un. Deviner certaines pensées, connaitre certains gouts... Encore heureux cependant qu'on ne puisse jamais complètement connaitre quelqu'un. Ce serait bien triste, sinon.

Edit, devancé par moghidou
La dernière fois que j'ai fait du chant, j'avais 8 ans. J'en ai aucune idée!

Quelle tessiture penses-tu que j'ai ?

Sylph a écrit:

Mulet, le mec qui lisait en moi comme dans un livre ouvert.

Si seulement c'était vrai en partie, je t'avais vraiment cru villageois dans la 160.

Si ton avatar est bien représentatif de ta personne, la même qu'à tes huit ans

Ton avatar est-il représentatif de ta personne ? (physiquement, psychologiquement, peu importe)

En fait Mulet, tu es peut-être un peu nietzschéen finalement (cela me permet de rebondir sur ce que disait Nxou dans un autre sujet). Je vais garder l'exemple des arts. D'un côté il y a Sartre qui se moque des imbéciles qui puisent leur consolation dans les Beaux-Arts, c'est-à-dire qui ont une vision consolatrice de l'art, ce qui s'oppose clairement à Schopenhauer pour qui l'existence est une oscillation entre la douleur et l'ennui, que seuls les arts, et en particulier la musique, viennent supprimer. Et puis nous avons Nietzsche qui parle d'un art non consolateur mais affirmateur. Pour lui, l'art approfondit la douleur : l'art n'est pas quelque chose qui est fait pour rassurer.

Concernant Descartes, je rejoins Laure. Il y a plusieurs pans du philosophe (qui était croyant au passage, bien évidemment pas du Dieu de la religion chrétienne, mais d'une divinité toute puissante, à laquelle le doute résiste par ailleurs). Il y a le Descartes du Discours de la méthode, pour qui une pensée claire est une pensée bien ordonnée. Le savoir découle toujours d'une méthode.
Puis il y a le Descartes depuis lequel on oppose la matière à la pensée. On possède selon lui deux types de connaissance : ceux des sens et ceux de la raison. La connaissance par les sens n'est pas indubitable, puisque les sens peuvent tromper. On peut également douter de la connaissance mathématique, qui n'est pas non plus indubitable, c'est la fiction du malin génie de Descartes, malin génie qui peut faire tromper l'être humain dès qu'il fait une addition ou autre calcul mathématique, puisqu'ils sont le produit de la pensée humaine. Seul le Cogito est une certitude indubitable : même si je doute que je pense, je pense encore. Le doute renforce et confirme la certitude, principe de notre existence puisqu'on ne peut penser sans être. Ego cogito ego sum comme le rappelle Laure. En gros, on est une substance pensante. Être cartésien, c'est donc privilégier l'esprit sur le corps, sur la matière, ces derniers assujettis à des lois mécaniques. Quant à l'esprit, il est libre, et nous sommes censés nous élever grâce à lui au-dessus des tendances naturelles, comme résister à nos passions (ahem - et c'est là où nous cessons d'être cartésiens ...). Bien évidemment, nous sommes avant tout un corps et une pensée. La preuve avec la passion, puisque c'est le corps qui influe sur l'âme, l'esprit, et Descartes en a conscience. Toutefois, ce serait surtout Bergson qui reprendra le fait que la vie de la conscience est liée à la vie du corps, avec une redéfinition illimitée de ces termes.
En fait, de Descartes, il faut conserver le fait que si on doute, c'est qu'on est, qui est quand même révolutionnaire dans la pensée occidentale au 17ème. J'aime bien un autre truc de Descartes, qui fait que je suis aussi parfois cartésien, et puis que, comme je vous disais, on ne peut pas désigner un seul objet sous cet adjectif "cartésien", qui est multiforme aujourd'hui : il explique que l'âme a la maîtrise de ses passions en opposant à une passion une passion contraire. C'est plus ou moins ce que le personnage de Bree Van de Kamp résumait dans Desperate Housewives de manière réductrice : pour se débarrasser d'une passion, il faut s'en trouver une autre ...

Mulet a écrit:

Sylph a écrit:

Mulet, le mec qui lisait en moi comme dans un livre ouvert.

Si seulement c'était vrai en partie, je t'avais vraiment cru villageois dans la 160.

J'ai tellement une mémoire de poisson rouge que je ne me souviens déjà plus de cette partie. Quelle sylpherie avais-je commis sur la 160 ? xD

Mulet a écrit:

Ton avatar est-il représentatif de ta personne ? (physiquement, psychologiquement, peu importe)

Je ne pense pas. Enfin si, il est représentatif de mes gouts, je crois. Mais je ne suis définitivement pas une fillette de 8 ans aux airs mystérieux et fragiles. Ca se saurait si j'étais quoi que ce soit de tout ça.

Ta lettre préférée de l'alphabet, c'est laquelle ?

Spoiler:

Le L. Etonnant, non ?

La pochette de disque la plus immonde que tu aies jamais vue ?

Arthur a écrit:

[...]
C'est plus ou moins ce que le personnage de Bree Van de Kamp résumait dans Desperate Housewives [...]

Ouah, j'avais pas autant rien bité depuis mon cours de chimie / physique quantique en première année de fac. Respect. Et un point bonus pour la pertinence philosophique de ton dernier exemple

Sylph a écrit:

Quelle sylpherie avais-je commis sur la 160 ? xD

Tu m'avais juste tellement argumenté dans la tronche concernant mon mensonge sur le charmage avec Floflp que j'avais pensé qu'un loup ne se concentrerait pas autant sur une gaminerie entre deux nouveaux joueurs.

Je passe mon tour pour la question de Mogh, pas assez d'expérience dans le domaine.

Oh, tout de même, tu dois bien en connaître trois ou quatre ?

Oh, tout de même, tu dois bien avoir compris ce que je veux dire ? En terminale, je ne comprenais déjà rien à la physique quantique (que mon prof prononçait "couantique").

Il y a de l'écho sur ce sujet.
()

Merci Arthur pour ce petit récap

Mulet a écrit:

Et du coup je m'aperçois au bout d'un moment que je me suis coupé d'un certain nombre de moyens qu'à l'homme de se créer de l'espoir. Donc tristesse.

Tu peux en trouver d'autres. J'ai coupé le même genre de ponts que toi, et pourtant je suis plus serein que je ne l'ai jamais été.
Si tu as vraiment besoin d'espoir, alors tu sauras où le chercher pour que ton esprit analytique puisse l'accepter
Essaie de trouver ton niveau d'équilibre entre raison et émotion. Il faut concilier les deux pour vivre apaisé, sinon tu seras toujours en lutte interne perpétuelle entre ces deux facettes de ton esprit.

Sylph a écrit:

Mais je ne suis définitivement pas une fillette de 8 ans aux airs mystérieux et fragiles. Ca se saurait si j'étais quoi que ce soit de tout ça.

Ahem...

Mogh, je vais te répondre ça :


Un petit thé ?

Avec plaisir !

Quel est ton animal préféré ?

Spoiler:

Je deviens concon dès que je vois un chien. (Sauf les caniches et les yorkshires. Faut pas déconner.)

De qui es-tu "fan", ou de qui apprécies-tu tout particulièrement l'oeuvre, le talent... ?
(Arthur, Wagner et Proust, oui, on sait - câlin !)

Moghedien a écrit:

De qui es-tu "fan", ou de qui apprécies-tu tout particulièrement l'oeuvre, le talent... ?
(Arthur, Wagner et Proust, oui, on sait - câlin !)

Ah non, je ne répondrais pas du tout Wagner à cette question. Proust, par contre ...

D'ailleurs, pour une fois qu'on parle de lui à la télé : http://www.france5.fr/la-grande-librairie/?page=emission_speciale&id_article=7412

Are You Ready de Pakito qui est un remix de Are U Ready de Pakito.
True story.

Qu'est-ce que ça fait de se faire spoiler qui est la mère dans HIMYM ?

J'ai arrêté de regarder How I met au milieu de la saison 3, je n'en ai donc absolument rien à foutre.

Ta musique de film préférée ?

Arthur a écrit:

Oh, tout de même, tu dois bien avoir compris ce que je veux dire ? En terminale, je ne comprenais déjà rien à la physique quantique (que mon prof prononçait "couantique").

Etrangement, je dis physique quantique comme ça s'écrit, mais je sais que je prononce le mot quantum "couantum".
Une question d'habitude je présume, et de pseudo prétention à la connaissance du latin.


Je préfèrerai le construire en France (si certains voient ce que je veux diiire ).

Tu es plutôt maison ou appartement ?