Je fais une nouvelle tentative de compte-rendu en espérant que cette fois-ci sera la bonne.
Vendredi - Samedi
Tout commença pour moi aux alentours de minuit, sous une pluie battante, quelque part dans le sud-Sarthe.
Je découvris avec étonnement que Kinrep était du voyage.
Le convoi mené par Moghedien passa par Tours pour récupérer Arthur, et sitôt cette formalité effectuée, nous formions la "Team de l'Ouest" aussi appelée "Les occidentaux".
Le voyage fut long et éprouvant en raison d'un brouillard persistant qui dura une grande partie de la nuit mais nous arrivâmes à l'heure que nous avions envisagé au départ, c'est-à-dire aux environs de 8h du matin.
Le chalet est déjà bien décrit par Volthor dans son compte-rendu et les photos de l'IRL qui traînent sur Facebook (comme celle du profil d'Arthur) montrent le type de vue auquel nous avons eu droit quatre jours durant.
Sur place, nous trouvons Maléfique qui n'avait pas dormi, rapidement rejoint pour nous accueillir par Volthor et par Diogène.
Peu à peu, et avec l'aide d'un café, nous enchaînons la nuit blanche par de petits jeux tels que l'immense
Poker des cafards ou encore
Celtica, un jeu tout à fait sympathique présenté par Maléfique.
Au Poker des Cafards, je signale une anecdote. Arthur perdit la première partie sur "son" animal : le crapaud. Il prétexta que s'il s'était rendu compte qu'il en avait déjà concédé trois,
la face du monde en eût été changée, il n'aurait pas perdu la partie.
Cette mauvaise foi n'étonnera personne car tout le monde sait qu'il est tout simplement... mauvais.
Au fur et à mesure que nous jouions aux jeux sus-mentionnés, les personnes qui dormaient se réveillèrent et vinrent nous dire bonjour et bientôt, tout le beau petit monde de l'IRL fut là.
Citons Flew, Balthy, Audros, Otomo, Schrenki, Chloran, Elzen. Ne citons pas Sylph.
Bientôt, la première partie de Loup-garou eut lieu. Sur la terrasse et sous un délicat soleil bien attentionné mais néanmoins nullement dépendant de la présence d'Arthur comme celui-ci le laissait à penser, nous jouâmes une bien jolie partie qui permit à Sylph de réaliser ce qui restera le sommet de sa carrière de joueur, à savoir : m'envoyer au bûcher alors que j'étais un Simple Villageois, en bluffant la Voyante qui m'aurait sondé Loup.
Ce coup magnifique ne permit cependant pas à son camp de remporter la partie puisque Maléfique le Chasseur put s'assurer d'éliminer le couple traître composé par les deux seules filles de l'IRL (Moghedien et Audros).
Diogène, le meneur de cette partie, créa à cette occasion un alignement supplémentaire après les très connus alignements
Villageois,
Loup et
Indépendant, avec le désormais fameux alignement
Sylph, matérialisé par un doigt d'honneur pour une éventuelle Voyante qui sonderait un joueur possédant un tel alignement.
A ce moment, arrivèrent trois jeunes gens fort bien mis et donc la sympathie n'était pas sans aller de paire avec l'ambiance géniale qui régnait déjà jusque-là. Je parle de Capricorne, de Moulcafé et de Popsi.
Pour l'anecdote, Capricorne, restant interdit au moment de me dire bonjour car visiblement mon visage ne lui permettait pas de m'identifier clairement, eut droit à un «
Enchanté ! ... Maître Sfodellah... » de ma part, ce qui me fit beaucoup rire. Je lui ai cependant révélé la supercherie rapidement, parce que je suis gentil.
La partie suivante, menée par Flew avec une variante de son choix et que j'expliquerai après, fut particulière en ce sens qu'elle aura été la seule de l'IRL dans laquelle j'ai été Loup-garou et également... la seule que j'ai remportée.
Dans cette partie-là, à douze joueurs au total, l'Antre était constituée de trois membres mais dont un seul se réveillait la Nuit pour agir, sans avoir connaissance de ses partenaires au début. Ce "chef Loup", pouvait choisir une victime mais également sonder un joueur pour savoir si oui ou non il était un des deux Loups-garous alliés.
J'étais ce fameux Chef Loup, matérialisé par la carte du Loup-garou Blanc, que je connais très bien désormais.
Ajoutons à cela qu'après la réception des rôles, une deuxième distribution - publique cette fois - eut lieu afin de désigner trois joueurs qui constituèrent "le Conseil des Sénateurs" et dont le rôle était de trancher les éventuelles égalités de bûcher, après concertation entre eux trois. Moghedien, Capricorne et Chloran furent les trois désignés.
Par ailleurs, Moulcafé reçut le rôle du "Messager", dont le titre lui conférait le droit de parler en dernier lors des phases de débat.
Cette partie fut un enchaînement idéal pour le Loup-garou que j'étais. Par exemple, le Salvateur (Schrenki) mourut au premier bûcher tandis que par la suite, le Chasseur (Otomo) tira sur un Villageois (Moulcafé) lui-même en couple avec un autre Villageois (Balthy).
Arthur comprit alors que je m'étais joué de lui depuis le départ mais ce fut trop tard pour lui; Elzen & Capricorne étaient mes complices encore vivants et nous avons triomphé.
Après, il y eut une certaine dispersion et nous nous sommes retrouvés à huit joueurs pour un nouveau Loup-garou à la sauce double-rôle, menée par Chloran.
Cette partie-là, j'étais Cupidon + Ancien tandis qu'Arthur - mon amoureux - était Simple Villageois + Salvateur.
J'ai regretté de ne pas avoir su me faire mieux comprendre de lui par signes lors de la phase de reconnaissance car cela aurait changé le cours de la partie.
En effet, j'ai tenté de lui indiquer qu'il fallait qu'il se protège à la Nuit 1, mais n'ayant pas saisi que j'étais Ancien, il me protégea malgré tout. Ceci dit, nous avons mis en échec les Loups pendant les deux premières Nuits, ce qui ne suffit pas car pendant les débats, j'ai personnellement été d'une médiocrité sans borne en menant au lynchage deux Villageois (Capricorne puis Moulcafé), ce qui ravit Maléfique et Otomo, les deux Loups-garous qui n'en demandaient pas tant.
Ensuite, nous jouâmes à
Gambit, un jeu amené et présenté par Moulcafé.
Il s'agit d'un jeu de culture générale où les joueurs écrivent secrètement une réponse - forcément un nombre - sur une ardoise puis la révèlent en même temps. Ensuite, il faut miser (une mise simple ou alors tout son tapis) sur l'intervalle entre deux nombres constitués par les réponses des joueurs.
Par exemple, une question qui ravit Arthur était : "Quel est le nombre de mots constituant la plus grande phrase écrite par Marcel Proust dans
A la recherche du temps perdu ?".
Admettons que des joueurs répondent : 345, 559, 840, 1200, vous misiez pour l'intervalle de votre choix, c'est-à-dire : moins que 345, entre 345 et 558, entre 559 et 839, entre 840 et 1199 ou plus que 1200.
C'était très bien mais j'ai été globalement très mauvais !
Notez cependant que pour Arthur, ce tout petit pays par la taille qu'est la Russie, ne comporte - selon lui - qu'un seul fuseau horaire (au lieu des onze en réalité). Vous apprécierez.
En fin d'après-midi / début de soirée, Diogène et moi sommes restés seuls pour disputer une partie de
Magic que nous attendions depuis belle lurette.
La douceur du temps, un bon petit verre à la main et un ami avec qui jouer et nous voilà dans un de ces moments de bonheur qui semblent flotter dans l'air.
Loin de tout, hors de l'espace et du temps, loin des tracas du quotidien, loin du bruit, simplement là, avec la conscience de vivre quelque chose que nous nous figurons toujours en-deçà de la réalité lorsque nous y songeons les semaines qui le précèdent.
Souvent, on pense qu'on ne voudrait vivre que ce genre de moments dans sa vie. Je crois au contraire que le caractère éphémère de ces fragments de bonheur se doit d'être l'exception dans la règle de nos vies sans rêve, afin de toujours les apprécier au plus profond de nous-mêmes, afin qu'ils représentent toujours une belle forme d'espoir qui nous animera dans les mauvais moments, où la représentation de ces souvenirs agira comme la lumière dans la nuit, comme le baume qui soignera les blessures.
Après avoir mangé, nous attaquons une nouvelle partie de Loup-garou, menée par Volthor. Le début de la partie fut heurté, nous rappelant par là à quel point la folie soudaine peut s'emparer de nous, dès lors que nous recevons l'éphémère rôle d'un Villageois ou d'un Loup-garou dans un village fictif.
Cependant, la partie continua mieux et elle restera un souvenir pour certains. A titre personnel, j'étais le Salvateur et je me suis fait empoisonné par la Sorcière jouée par Flew.
Plus tard, Arthur faillit gagner lorsqu'il se bluffa le Bouc-émissaire mais il finit malgré tout par trépasser. Balthy ne réussit pas à convertir l'incompréhension des Villageois - suite à l'annonce que la partie continuait quand même à la mort d'Arthur -, en victoire. Otomo, Moghedien et Sylph gagnèrent.
Une seconde partie eut lieu, menée par Maléfique, au cours de laquelle j'étais la Sorcière. Après m'être fait attaqué en Nuit 2, je réussissais à empoisonner correctement en Nuit 3, puisque Arthur mourut de ma potion en tant que Loup-garou.
Bien qu'il eut envie de m'étrangler, il n'insista pas trop et tout deux, nous allâmes nous coucher sans avoir attendu le dénouement de la partie. On s'effondra comme des masses sitôt au lit, après plus de 45h de veille.
Dimanche
Je me souviens qu'on a dormi 8h cette nuit-là, ce qui constitue le maximum de ce que j'ai dormi pour le compte d'une nuit d'IRL.
Je n'ai pas fichu grand chose jusqu'au moment où nous sommes sortis. Après une courte balade en forêt qui fut l'occasion de disserter avec Arthur sur le remplissage de cerveau, nous sommes arrivés au sommet d'une petite montagne environnant Nantua, qui nous offrit un panorama magnifique sur la vallée, bien que le vertige m'empêcha de considérer avec toute sa valeur la qualité du lieu.
Malgré un vent assassin pour mes beaux cheveux, nous prîmes quelques photos de groupe, qui sont les seules où nous figurons tous ensemble.
Nous partîmes alors pour le lac de Genin où mes souvenirs sont parcellaires pour la simple et bonne raison qu'un mal de crâne m'avait saisi depuis le lever et que j'ai profité de la tranquillité du lieu pour faire une sieste régénératrice.
Otomo me réveilla beaucoup plus doucement que ce qu'il avait fait à Roubaix, chez Schrenki en octobre dernier !
Nous avons joué une partie sur le thème de la Communauté des Hameaux, menée par la doublette Diogène/Chloran, qui m'adressèrent d'ailleurs un gentil compliment au moment de me donner mon rôle de Simple Villageois.
J'ai été attaqué dès la Nuit 1 mais la partie constitua néanmoins un petit plaisir pour le spectateur que j'étais rapidement devenu parce qu'en peu de temps, les Loups et les Villageois s'étaient captés, et il a fallu un événement qui autorise la libre circulation entre les deux Villageois, pour assister à une scène des plus cocasses.
En effet, il fut convenu par les Villageois qu'ils laissaient la possibilité aux Loups de se réunir dans un seul et même Village afin que les deux camps l'emportent. Aussitôt, Flew, Balthy et Otomo se ruèrent ensemble et étaient au comble de la félicité de pouvoir se réunir et gagner une partie qui était très mal embarquée pour eux.
Nous sommes rentrés au chalet et je me suis alors mis à une petite partie de
Perudo avec Arthur, Volthor et Capricorne. Ces deux derniers purent constater à quel point je prends un malin plaisir à gêner Arthur, quelque soit le sort qui me soit réservé par ailleurs !
Capricorne triompha magistralement en conservant 4 dés à la fin.
Notre quatuor joua alors à
Dominion, un jeu « d'intelligence pure » comme j'aime à dire, ce qui présageait du résultat final d'Arthur à la partie jouée.
Le tirage au sort donna quelque chose d'extrêmement lent, avec seulement une carte qui donnait "+1 action", ce qui donna le tableau de résultat suivant : 1. Capricorne - 14 points 2. Volthor - 7 points 3. Opeth - 6 points 4. Arthur - 4 points.
Il s'agit ni plus ni moins que des scores les plus pauvres que j'ai jamais vus.
Au cours de cette partie, l'on put apprécier les fromages et bières apportés par notre Belge adoré, qui furent un régal !
Maléfique prépara également le barbecue qui, cumulé à la salade de riz, constitua le plus gros repas pris au cours des quatre jours.
Après s'être ainsi rassasiés, nous fûmes fin prêt pour débuter la fameuse
Murder Party gérée par Moghedien assistée d'Otomo.
J'étais un brillant joailler, Jonas, dont la caractéristique principale - outre qu'il était proprement imbuvable - était qu'il était cocu comme pas deux.
J'ai particulièrement ri face à la prestation de Balthy, le professeur de biologie complètement fou, dont on ne savait plus très bien si le défaut majeur était son côté pervers ou son homophobie tenace.
J'ai aimé la façon dont Maléfique se justifiait de sa relation avec ma défunte chérie en expliquant qu'il ne s'agissait que « d'une simple histoire de se-xe », comme si cela allait me calmer.
Le débat et le vote final conduisit à une méprise et le coupable - Schrenki - s'en sortit impunément, ceci notamment dû au fait que le bougre était tombé sur des indices l'incriminant, ce qui lui simplifia la vie pour peu qu'il réussit à ne pas se les faire subtiliser.
Je me rappelle avoir sollicité un Loup-garou mais après avoir essuyé un échec pour cette tentative, je partis me coucher bien qu'il fut encore relativement tôt, mais cela ne faisait pas de mal que de pouvoir se reposer un peu, avec ces journées bien remplies.
Lundi
Je crois qu'il s'agit de ce matin-là (ou était-ce le précédent ?) au cours duquel nous avons eu affaire aux énigmes Volthoriennes, Capricorniennes et Sylphiennes; ce qui met d'entrée le cerveau à contribution.
Après, nous avons un peu joué au Tarot. L'infâme jeu de Balthy fut moqué par Arthur et par moi, ce qui constitua le seul moment où nous fûmes d'accord de tout le séjour ! (Je plaisante)
Il y eut ensuite un
Sporz, mené par Diogène et par Flew. J'étais le Psychologue, c'est-à-dire que je pouvais connaître chaque Nuit, l'état « sain » ou « mutant » d'un joueur.
Après avoir vérifié Arthur - sain - je lui ai rapidement glissé l'information afin qu'il sache que j'étais de confiance.
Au cours du débat du premier bûcher où chacun pouvait caler un maximum de deux phrases, Arthur dit un code uniquement compréhensible par moi et qui me donna ni plus ni moins l'information selon laquelle il était un Médecin !
Forcément, il me soigna à la deuxième Nuit afin que je reste sain.
Malheureusement pour lui, à la troisième Nuit il dut protéger Maléfique (l'autre Médecin) qui avait été repéré au cours du débat par Otomo (Mutant de base) et par Balthy (recruté de la Nuit 2) - personne n'avait été recruté à la Nuit 1 puisque Otomo était tombé sur le seul génome résistant (Schrenki) - ce qui fit basculer la partie puisque cette troisième Nuit fut celle où Otomo me muta.
Je savais qu'il me faudrait tenir juste le débat suivant et que c'était bon.
Mission accomplie puisque les joueurs exécutèrent Volthor, le Généticien.
La quatrième Nuit, après avoir reconnu mes collègues, Balthy et Otomo paralysèrent Maléfique à nouveau, le premier Médécin qu'ils avaient grillé, tandis que je leur indiquais de muter Arthur, le second Médecin.
Cette opération mit fin à la partie et nous gagnâmes à cinq puisque Sylph, le Fanatique, était encore en jeu.
Par la suite il y eut un Loup-garou version Village, mené par Schrenki.
J'étais la Sorcière et bien que j'eus entendu Arthur bouger à la seconde Nuit, je me suis gardé de l'empoisonner, par crainte de représailles. C'est triste, n'est-ce pas ?
Je suis passé au second bûcher de manière totalement surprenante, avec trois voix contre moi : trois Loups. On applaudit le principe du «
Plus c'est gros, plus ça passe ».
Par la suite Arthur utilisa de manière fourbe (ne lui en déplaise) des propos et autres confidences privées dont je l'aurais entretenu (ce qui était faux, il était le premier surpris que je meurs en tant que Sorcière), ce qui l'aida à aller loin et même à gagner, puisqu'il résista au bûcher final en compagnie des deux filles.
Sur le coup Moghedien fut le dindon de la farce et n'apprécia pas vraiment la défaite puisqu'elle essaya de frapper Arthur pendant un long moment, avec les sourires approbateurs et complices des personnes alentours.
Ce qui me marqua en fait, c'est que suite à ma mort, j'étais parti de la pièce et que, lorsque je revins au moment des cris qui suivirent la révélation du rôle de Loup d'Arthur, je le vis dans un état que je qualifierais de "transe".
Je ne t'avais jamais vu comme ça !
On sentait, comme si cela avait été palpable, que son cœur avait dû battre à deux cents pendant les ultimes instants du jeu.
Après que chacun se fut remis de ses émotions, nous pûmes déguster les nombreux fromages achetés par Volthor, ainsi que le vin rouge de rigueur pour les accompagner. Sitôt ce moment de pur plaisir passé, nous jouâmes de nouveau une Murder Party, menée par la petite sœur de Volthor et son ami.
Cette fois-là, j'ai été membre de la famille Shakespeare, que je constituais en compagnie de Capricorne. Lui était Roméo et j'étais Juliette. Aucun commentaire ne sera toléré.
Encore une fois Arthur fit parler sa puérilité en attaquant lâchement mon amoureux sur sa stérilité, en y ajoutant le caractère mensonger de son impuissance, ce qui était extrêmement vilain. Je rétablis ici la vérité : Roméo me contente tout à fait et nous formons un couple parfait ! =)
Bien que nous ayons trouvé deux indices sur onze, nous échouâmes au moment final car les coupables étaient le duo Balthy / Audros (Brad et Angelina) qui s'en tira de justesse sur les votes.
Ensuite, la nuit se prolongea par la pratique du
Saboteur un jeu pour casual.
Non en fait, le jeu est sympa mais j'ai plus pensé à démasquer les Saboteurs avec des raisonnements propres au Loup-garou de Thiercelieux qu'à jouer véritablement !
Enfin, on débuta une partie de
Trivial Pursuit qui devait durer finalement trois heures. Après un départ difficile (5 camemberts à 1 en faveur de Maléfique / Elzen), le trio que je constituais avec Arthur et Capricorne se rattrapa et l'emporta finalement, sur les coups de 5h45, grâce à ma réponse « Boeing 747 » ! \o/
Il était grand temps d'aller au lit afin d'envisager correctement le voyage de retour.
Mardi
Dernier lever, dernier petit-déjeuner, puis bientôt dernier Dominion en compagnie de Capricorne, de Volthor et de Flew. Ce dernier me devança au classement final, avec une combinaison de cartes Royaumes très équilibrée et agréable (Sorcière / Douves / Village / Festival et autres Aventurier).
Ce fut ensuite le temps des adieux. Notons que je n'ai pas pu dire au-revoir à la majorité des gens et que je m'en excuse.
Rien en particulier à dire si ce n'est que Kinrep et Moghedien ne seront jamais invités à notre mariage. Ils comprendront.
Un merci final à Volthor, pour tout : c'était parfait.
Merci à Moghedien pour le co-voiturage qui était pratique et parfait.
J'espère tous vous revoir bientôt !
Voilà, j'espère avoir été clair et agréable à lire !